Date de la publication : 2013

Rapport d’activité 2013

Le présent rapport d’activités couvre l’année 2013 et est destiné à nos membres, nos partenaires et nos pouvoirs subsidiants.

L’année 2013 a été marquée, dans le prolongement de l’année 2012, par de nombreuses rencontres avec des professionnels des droits de l’enfant et de l’Aide à la jeunesse dans le cadre de nos études sur les relations entre enfants placés et familles d’origine.

En outre, 2013 a été l’occasion d’une nouvelle participation à l’organisation du Festival ZERO>18 ; cette troisième édition a fait l’objet d’une double localisation (Bruxelles et Charleroi), et la CODE s’est particulièrement investie à ce niveau. L’année 2013 a également été marquée par d’importantes réflexions sur l’évaluation et la planification de nos activités, afin d’utiliser au mieux nos ressources, de nous adapter au contexte politique et financier particulièrement complexe et d’optimaliser les relations avec nos partenaires.

Comme les années précédentes, le travail d’éducation permanente de la CODE a constitué le fil rouge des activités de l’année écoulée. Ce travail d’étude et d’analyse a été réalisé dans un souci de pluridisciplinarité et de rigueur avec, pour objectif, un meilleur respect des droits de l’enfant dans notre pays.
La composition de la CODE, réseau constitué de 13 associations actives en matière de droits de l’enfant, permet un échange d’informations précis et régulier, au service du suivi de dossiers prioritaires en matière de droits de l’enfant. Citons, en 2013, la lutte contre la pauvreté des enfants, les mineurs étrangers, la justice juvénile, la mendicité, les questions en lien avec la parentalité. Ce travail se traduit, le plus souvent, par des prises de position communes.

Cette capacité à rassembler et à travailler ensemble de la CODE a permis l’adhésion d’un nouveau membre en 2013, à savoir les Services Droit des Jeunes (SDJ), AMOs (aide en milieu ouvert), acteurs de première ligne en faveur de la défense des droits des enfants, des jeunes et de leurs familles.

D’une manière générale, la CODE est régulièrement sollicitée pour partager son expertise à plusieurs niveaux, que ce soit par des associations, des parlementaires ou des services d’étude de partis politiques, de toutes tendances confondues. Suite à la publication de ses études ou de ses analyses, la CODE est également contactée à – intervalles réguliers par le grand public et par les médias.

Comme chaque année, un travail important a été réalisé en matière de communication, articulé autour du site internet (www.code.be), régulièrement alimenté de publications, d’actualités et d’évènements en matière de droits de l’enfant.

Au niveau financier, malgré quelques inquiétudes relatives au subside justice et une vigilance de mise sur l’évolution de ce dernier, la situation de la CODE, bien que modeste, est restée stable. Grâce au subside récurrent obtenu par le biais de l’Education permanente depuis 2007, trois permanents, engagés à temps partiel, assurent les missions de la CODE en faveur des droits de l’enfant en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Nous vous souhaitons une bonne lecture de notre rapport d’activités 2013, et nous restons à votre disposition pour tout complément d’information.

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